18 mars 2011

Floride

Ce qui m'a frappé en arrivant à Miami, c'est le niveau sonore de la ville. Les véhicules qui circulent, les commerces, tout est plus calme, silencieux, en comparaison de l'Amérique latine. Tellement que j'ai cru que c'était moi qui n'entendait plus!

Les infrastructures routières aussi impressionnent, en nombre et en qualité. C'est riche la Floride, y'a pas de doute! Pas de déchet non plus le long des routes. La signalisation ne laisse rien au hasard et est respectée. La plupart des automobilistes sont courtois. Ça fait très civilisé! J'étais saturé de l'Amérique latine! On est vraiment bien en Amérique du Nord!



J'ai donc pris une vacance de mes vacances, en me promenant sans but précis à travers la Floride. J'ai de l'eau chaude dans la douche. La nourriture de qualitée est disponible partout. Je roule sous le soleil. La température est juste bien (15 à 20 degrés). Les routes sont bordées de plages et de palmiers. Je suis presque seul sur les routes à l'extérieur des villes. Je retrouve le plaisir de rouler à moto!



La vie se résume à avaler des kilomètres d'asphalte, manger, dormir, et me dessiner un trajet pour une autre journée qui commence.



Puis j'entrepose la moto pour quelques semaines, le temps d'une croisière dans les Bahamas avec Barbara qui est venue me rejoindre à Miami. La vie de château pour quelques jours!






Aux Bahamas, la pauvreté extrème côtoie l'opulence.




Après la croisière, on prend quelques jours pour découvrir le sud de la Floride, dont le parc national des Everglades...







...et les "Keys", jusqu'au "Mile 0" de la route 1, à Key West.







Après quoi, comme ma famille (et l'hiver) me manquait beaucoup, j'ai décidé d'aller passer une semaine à Sherbrooke, le temps de goûter à la bouffe maison et au froid du Québec...



... et renouer avec le café de chez Timmy!



De retour sous le soleil de la Floride le 28 février.



"Ici et maintenant", je me promène sur les routes du sud.



Le French Quarter, à New Orleans: Chaleureux, accueillant, vibrant.











Faut pas compter les jours,
mais faire en sorte que chaque jour compte.